Tout commença par un message d’un « certain » Sébastien Béziau pour me présenter son projet, je connaissais assez bien son blog http://www.vapyou.com/, et autre avantage autarcique : il était Grenoblois.
Il était surtout motivé comme pas deux avec un projet très clair, bref rapidement une première rencontre autour d’un sachet de thé fut organisée (oui le Grenoblois se retrouve aussi autour d’une tasse de Thé, on ne tourne pas au vin chaud ou à la Chartreuse toute la journée 😀 ).
J’ai tout de suite accroché ; un concept de normalisation du geste et du plaisir de vapoter au travers d’un « tabloid » d’informations positives distribué gratuitement aux clients (à charge des boutiques de financer leur approvisionnement), tout ça sans pub… ça avait tout pour me plaire.
Le modèle économique de Seb pour son Vap’You version papier étant en parfaite adéquation avec mes « idéaux », me permettant de collaborer avec lui en toute liberté, assurant une ligne éditoriale en toute indépendance des vendeurs, le toute chapeauté par une volonté « positive et objective » qui m’inspirait beaucoup de bonne humeur :
j’ai donc dit oui !
La seule contrainte (et c’en est une quand on devient un vieux loup de la vape), c’est de bien rester dans une optique « tout public », le but même du concept de Vap’you et je pense que mes compères rédactionnel y sont même encore plus confrontés que moi car ils ont aussi à choisir des mots ;).
Mais ce qui se conçoit bien s’énonce clairement y compris au travers d’un petit dessin dont je m’efforce qu’il apporte à chaque lecteur matière à sourire si possible autant qu’à réfléchir.
Notez que je suis guidé par le texte de l’article de Sébastien que mes dessins illustrent.
Au plaisir de vous me lire,
LEIO Septembre 2015
Vous trouverez sur ce lien le détail du fonctionnement de Vap’You papier
http://www.vapyou.com/vente-vapyou-2/
Selon la volonté de diffuser largement, les deux premiers numéros sont accessibles en téléchargement libre au format .pdf (liens ci dessous) :
notez juste que c’est une version « beta » et que les couleurs et images peuvent paraître dégradées par rapport à la version définitive sur papier.